Hélène et la fessée

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il y a 6 ans

Le soir où oncle Philippe m’avait administré la mémorable fessée que je vous ai racontée, après le repas, lorsque l’heure fut venue d’aller se coucher, j’embrassai mon oncle et ma tante et je me dirigeai vers la « chambre des garçons » avec mes cousins Daniel et Jean-Pierre.

Tandis que j'embrassais aussi Hélène qui allait de son côté regagner sa propre chambre, elle me glissa à l’oreille : « une fois que vous serez couchés, viens me dire au revoir dans ma chambre ». Lorsque mes cousins et moi eûmes éteint la lumière et que j’eus entendu à leur respiration qu’ils s’étaient endormis, je me levai de mon lit, sortis de la chambre et me rendis dans celle d’Hélène comme elle me l’avait demandé.

Je me doutais bien qu’elle voulait me parler de la fessée que j’avais reçue devant elle et c’était en effet le cas. Elle me demanda si j’avais encore très mal et je lui répondis qu’en effet j’avais toujours le cul en feu. Elle exprima alors le désir de constater par elle-même l’état de mon postérieur. J’hésitai un instant, un peu stupéfait d’une telle requête, puis je me dis que de toute façon je n’avais plus rien à lui cacher. De plus, qu’elle ait osé formuler un tel souhait m’emplissait de trouble, d’émotion et, je dois le dire, d’une certaine excitation.

Accédant à son désir je baissai donc mon pantalon de pyjama et me couchai à plat ventre sur son lit. Elle s’assit à côté de moi et me dit qu’en effet elle n’avait jamais vu de sa vie un derrière aussi rouge. Puis elle posa sa main sur mes fesses encore brûlantes et entreprit de les caresser. Je la laissai faire bien sûr, en retenant mon souffle. Alors elle s’enhardit et soudain elle glissa ses doigts à l’intérieur de ma raie et la parcourut lentement. Instantanément j’eus une forte érection, ce dont elle s’aperçut aussitôt.

Elle glissa alors son autre main sous mon ventre et je sentis ses doigts s’enrouler autour de ma verge. J’éprouvai un plaisir vertigineux et quelques instants plus tard je jouissais entre ses doigts. Je posai alors ma main sur elle, voulant la caresser à mon tour, mais elle me repoussa doucement en disant : « non, c’est seulement moi qui ai le droit de te toucher. C’était pour te consoler de la fessée que mon père t’a donnée ». Et, de fait, les choses n’allèrent pas plus loin ce soir-là ni durant ces vacances, du moins sur le plan physique.

En revanche nous devînmes à tous les autres égards de plus en plus intimes et nous nous fîmes mutuellement des confidences que ni l'un ni l'autre nous n’avions jamais faites à qui que ce soit. Elle m’amena à lui avouer mon goût pour la fessée et je lui racontai les expériences que j’avais faites au collège et au lycée, les fessées de M. Boulanger, celle que m’avait infligée Dominique, et le plaisir que j’en avais retiré en dépit de la douleur et de l’humiliation, ou peut-être grâce à elles. De son côté elle me confia que, quelque douloureuses que fussent les corrections que lui administrait oncle Philippe et quelque honteuse qu’elle fût de les recevoir sous les yeux de ses jeunes frères, il lui était arrivé de mouiller et même de jouir comme une folle pendant que son père la fessait.

Cependant c’est exactement un an plus tard que les choses prirent une autre tournure entre Hélène et moi. Nous n’habitions pas la même région : moi je vivais dans le nord et Hélène au sud de la région parisienne. Or aux vacances de Pâques de l’année suivante, c’était mon année de terminale, j’avais donc 18 ans et Hélène 17, nous fûmes tous les deux invités ensemble par notre grand-mère (la mère de mon père et d’oncle Philippe), qui habitait Paris. Ce furent des vacances délicieuses dont je garde encore aujourd'hui un souvenir émerveillé. Toute la journée nous nous promenions dans les rues de Paris, nous allions au cinéma, à la piscine, au bois de Boulogne etc.

Notre grand-mère n'avait que deux chambres dans son appartement, et Hélène et moi partagions donc la même où il y avait des lits jumeaux. Un soir, au moment de nous coucher, nous étions déjà en pyjama, Hélène était très excitée et elle prit l'initiative d'une bataille de polochons. Je m'y prêtais volontiers bien sûr, mais au bout d'un certain temps je lui demandai de cesser. Or elle continua de plus belle. Je la menaçai alors d'une fessée. Bien loin que cette menace ne l’arrêtât, elle s'acharna sur moi avec plus de vigueur encore. Je bondis alors sur elle, je l'empoignai, je la courbai sous mon bras et je lui administrai une bonne dizaine de claques sur le derrière. Or curieusement elle ne manifesta guère de résistance, ce qu'elle aurait fort bien pu faire car elle était aussi grande que moi et assez sportive.

J'eus alors la certitude qu'il ne lui déplaisait pas d'être fessée par moi. À peine l'avais-je relâchée qu'elle se saisit à nouveau de son polochon pour m'en asséner un nouveau coup. Je la prévins que si elle recommençait je lui donnerais cette fois une fessée déculottée. Elle s'arrêta net, me fixa une seconde d'un air de défi, et m'asséna un nouveau coup de polochon, encore plus fort. Je me jetai alors sur elle, la courbai de nouveau sous mon bras et, le cœur gonflé d'émotion, je lui baissai son pantalon de pyjama, découvrant ainsi son adorable derrière. Puis j'entrepris de claquer à nouveau ses fesses nues. Je claquai alternativement chaque fesse, puis la raie.

Elle gigotait un peu, tantôt serrait les fesses, tantôt les écartait, me laissant voir son intimité de fille, mais comme la fois précédente elle ne cherchait pas vraiment à se soustraire à la correction. Encouragé par ce quasi-consentement, je m'enhardis, la couchai à plat ventre sur son lit et lui claquai le cul de plus en plus fort. Du rose, ses fesses passèrent au rouge vif. Elle mordait son oreiller, mais ne cherchait pas à protéger son postérieur avec ses mains, comme je m'y étais attendu. Je la fessai donc longuement, sans qu'elle s'y opposât le moins du monde. C'est de mon propre chef que je mis fin à la correction, craignant d'être allé trop loin. Je caressai alors ses fesses brûlantes et elle ne se déroba pas davantage à cette caresse. Je passai ensuite ma main dans son sillon, j’allai jusqu’à la vulve et l'humidité que je rencontrai au bout de mes doigts m'apporta la preuve du plaisir que lui avait procuré la fessée infligée. Je pensais alors la faire jouir avec mes doigts, comme elle avait fait avec moi un an plus tôt, mais elle avait une autre idée en tête.

Elle retira complètement sa culotte de pyjama, puis le haut, et se couchant sur le dos elle m’attira contre elle, riant de toutes ses dents, posa ses lèvres contre les miennes, introduisit sa langue dans ma bouche, me pressa contre sa poitrine, et fit glisser mon pantalon de pyjama en me disant : « viens mon petit puceau, je vais te montrer ». Elle savait que je n’avais encore jamais fait l’amour avec une fille car je le lui avais dit les jours précédents, au cours de nos promenades dans Paris, tandis que de son côté elle m’avait confié qu’elle avait eu un rapport sexuel, pour la première fois, deux mois plus tôt, avec un garçon nettement plus âgé qu’elle.

Et c’est ainsi que je fus dépucelé par ma jeune cousine, deux mois avant de passer mon baccalauréat. Inutile de dire que la suite des vacances fut torride : nous fîmes l’amour tous les soirs, toutes les nuits, et même parfois la journée lorsque notre grand-mère s’absentait assez longtemps pour que nous ayons le temps de faire de la fessée, tantôt donnée, tantôt reçue, le principal préliminaire de nos jeux érotiques.

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